Communication de l'ACTA
l'Association canadienne des agences de voyages (ACTA) a soumis une lettre au PDG de Carnival Corporation, M. Arnold W. Donald, afin de lui exprimer sa frustration sur la politique de commission NCF de Carnaval, ainsi que sur sa volonté de travailler à l'élaboration d'une solution acceptable pour les deux parties.
Le moment choisi pour reprendre la conversation découle d'une déclaration du nouveau PDG. Celui-ci a affirmé vouloir s'engager à réparer les relations tendues entre Carnival Corporation et les agents de voyages. Nous espérons fortement que sous la direction de M. Donald, les demandes de l'ACTA seront enfin entendues.
L'ACTA a engagé la conversation avec Carnival Corporation et d'autres compagnies de croisières sur ce sujet en 2010. À cette époque, l'ACTA s'était exprimée devant les commentaires désinvoltes émis par la direction des compagnies de croisières et leur tendance croissante à déplacer plusieurs produits du tarif de base à la ligne «taxes».
David McCaig, président et chef de l'exploitation de l'ACTA a déclaré: «Malheureusement, les marques de Carnaval sont tombées en disgrâce auprès de membres de l'ACTA pour une variété de raisons, mais la plus inquiétante est la question entourant les frais non commissionnables (NCF) et la méfiance qu'elles crées entre le consommateur, la ligne de croisière, et nos membres.»
Traditionnellement, un agent de voyage présente les NCF à un client comme des «frais supplémentaires», des «droits de croisière non divulgués», des «tarifs de transit» ou des «suppléments cachés». En tant que ressource la plus fiable pour les clients, les agents de voyages sont tenus d'expliquer ce qu'ils signifient.
«Quand un agent de voyage cherche le support du service des réservations des lignes de croisières de Carnival pour quantifier les NCF, il a toujours de la difficulté. C'est injuste que les agents de voyages soient dépeints comme un obstacle à une baisse des tarifs», affirme David McCaig.
La lettre demande donc à M. Donald d'envisager sérieusement de changer la politique de commission NCF de Carnival et de ses marques en établissant une terminologie familière et cohérente pour que la communauté des agences de voyage puisse l'utiliser avec ses clients, ainsi que de commissioner la croisière en deux montants combinés (commissionnables et et non-commissionnables) aux montants actuels.
McCaig a déclaré : «Bien que nous sympathisons avec la récente série de catastrophes malheureuses de Carnival, nous trouvons qu'il est difficile de soutenir leur engagement à rétablir la relation avec les agences de voyage. Traditionnellement, les relations fondées sur la confiance consensuelle et la collaboration verraient les membres de l'ACTA appuyer rapidement un partenaire commercial loyal. À ce jour, la réputation de Carnival auprès des membres de l'ACTA a plutôt provoqué l'effet inverse.»
(Source: ACTA )
Le moment choisi pour reprendre la conversation découle d'une déclaration du nouveau PDG. Celui-ci a affirmé vouloir s'engager à réparer les relations tendues entre Carnival Corporation et les agents de voyages. Nous espérons fortement que sous la direction de M. Donald, les demandes de l'ACTA seront enfin entendues.
L'ACTA a engagé la conversation avec Carnival Corporation et d'autres compagnies de croisières sur ce sujet en 2010. À cette époque, l'ACTA s'était exprimée devant les commentaires désinvoltes émis par la direction des compagnies de croisières et leur tendance croissante à déplacer plusieurs produits du tarif de base à la ligne «taxes».
David McCaig, président et chef de l'exploitation de l'ACTA a déclaré: «Malheureusement, les marques de Carnaval sont tombées en disgrâce auprès de membres de l'ACTA pour une variété de raisons, mais la plus inquiétante est la question entourant les frais non commissionnables (NCF) et la méfiance qu'elles crées entre le consommateur, la ligne de croisière, et nos membres.»
Traditionnellement, un agent de voyage présente les NCF à un client comme des «frais supplémentaires», des «droits de croisière non divulgués», des «tarifs de transit» ou des «suppléments cachés». En tant que ressource la plus fiable pour les clients, les agents de voyages sont tenus d'expliquer ce qu'ils signifient.
«Quand un agent de voyage cherche le support du service des réservations des lignes de croisières de Carnival pour quantifier les NCF, il a toujours de la difficulté. C'est injuste que les agents de voyages soient dépeints comme un obstacle à une baisse des tarifs», affirme David McCaig.
La lettre demande donc à M. Donald d'envisager sérieusement de changer la politique de commission NCF de Carnival et de ses marques en établissant une terminologie familière et cohérente pour que la communauté des agences de voyage puisse l'utiliser avec ses clients, ainsi que de commissioner la croisière en deux montants combinés (commissionnables et et non-commissionnables) aux montants actuels.
McCaig a déclaré : «Bien que nous sympathisons avec la récente série de catastrophes malheureuses de Carnival, nous trouvons qu'il est difficile de soutenir leur engagement à rétablir la relation avec les agences de voyage. Traditionnellement, les relations fondées sur la confiance consensuelle et la collaboration verraient les membres de l'ACTA appuyer rapidement un partenaire commercial loyal. À ce jour, la réputation de Carnival auprès des membres de l'ACTA a plutôt provoqué l'effet inverse.»
(Source: ACTA )